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Comment bien parier sur le hockey sur glace ?

Comment bien parier sur le hockey sur glace ? Comment faire un pari hockey ?

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Le hockey sur glace est un sport particulièrement populaire sur le continent nord-américain, avec la célèbre ligue US et canadienne: la NHL, mais également en Russie, en Scandinavie et dans une moindre mesure en Europe : Suisse, Autriche, République Tchèque et sans oublier la France avec la Ligue Magnus.

Avant de parier sur le hockey, il vaut mieux connaitre un minimum de règles et suivre quelques conseils que je vais essayer de vous dévoiler.

 

Au hockey sur glace, sachez exploiter les expulsions en cours de match (power-play).

Au cours du match d’un sport par équipes, l’expulsion d’un joueur est d‘autant plus préjudiciable à l’efficacité collective que le nombre de joueurs est faible dans le sport en question.

Or, au hockey, il n’y a que 5 joueurs de champs sur la patinoire à un instant donné, à comparer aux 10 joueurs de champs d’un match de foot par exemple ou au 15 protagonistes d’une équipe de rugby à XV.

Un absent sur 5, ce n’est pas la même chose que 1 sur 10 ou 1 sur 15, vous en conviendrez !

Que l’arbitre vienne à siffler une expulsion (‘power-play’ en anglais) et la physionomie du match peut très vite changer. Le terrain de jeu ne fait que  60 mètres de long et la vitesse de progression est époustouflante (près de 60 km/h). Il n’est pas rare que l’équipe ainsi affaiblie encaisse le prochain but très rapidement !

Conseil : Essayez de battre le bookmaker lors de la reprise de cotation qui est plus ou moins rapide selon l’opérateur. Bien souvent celui-ci effectue une mise à jour des cotes pour corriger une première estimation trop approximative, votre objectif étant de parier sur cette 1ère cote plus favorable aux joueurs.

 

Au hockey, bien surveiller la forme des 2 gardiens de but et leurs statistiques

La cage d’en-but du hockey n’est pas bien large (1.83 m tout au plus !) et pourtant le gardien a fort à faire pour repousser le palet qui fuse dans tous les sens. Son accoutrement XXL (jambières extra larges, bouclier de protection, crosse plus large que celle des joueurs de champ) ne suffit pas toujours à parer les nombreux tirs de l’adversaire (une trentaine par match en moyenne).

Qu’un des 2 gardiens de l’équipe X vienne à sous-performer (avec un % d’arrêt inférieur à 90% par exemple) et c’est le résultat en défense de l’équipe X qui risque de s’en ressentir rapidement.

Avec 30 tirs cadrés pour chaque équipe et en supposant que un tir sur 10 est arrêté par le gardien, on arrive à 6 buts marqués en moyenne par match.

En pratique, la moyenne est plus proche de 5 que de 6 buts marqués car les (bons) gardiens dépassent la barre magique de 90% de taux de réussite.

Conseil : ne jamais parier sur une équipe dont l’un des gardiens traverse une mauvaise passe. Avant de parier sur la victoire d’une équipe de hockey, bien regarder les statistiques sur les 3 derniers matches des 2 gardiens de l’équipe en question. Si les % d’arrêts des 2 gardiens sont au-dessus de 92%, il n’y a pas de souci pour parier sur cette équipe. Par contre, si la stat de l’un des deux gardiens est nettement en dessous de 90%, il y a danger !

 

Au hockey, comme au turf, attention à la musique (la loi des séries)

Depuis longtemps les turfistes utilisent le thème fort judicieux de ‘musique’ pour caractériser la loi des séries, très fréquente sur les hippodromes.

La saison de hockey est très dense, particulièrement aux USA/Canada avec la NHL : de 3 à 13 matches sont programmés tous les jours et les organismes des joueurs de champs sont mis à rude épreuve.

Comme au turf, de tel enchainements de matches rendent la loi des séries plus ‘visible’ si toutefois vous prenez le temps d’analyser les performances des équipes sur les derniers matches avec les statistiques : ‘the last 5’ ou ‘the last 10’.

La difficulté est d’essayer d’anticiper les changements d’état de ces phases successives d’euphorie (ou tout semble s’enchainer favorablement pour une équipe !) et de déconvenues (ou tout semble ne plus fonctionner tout à coup!).

Certains parieurs au hockey, comme certains turfistes, ne font leur ‘papier’ qu’en ne tenant compte de cette petite musique.

Mon conseil : l’analyse de la loi des séries est certes un paramètre à prendre en compte pour parier au hockey sur glace, mais cela ne doit pas être le seul et loin de là! Les meilleurs parieurs sont ceux qui savent doser les diverses composantes apportées par tel ou tel ‘tuyaux’ (tips en anglais).

 

Les matchs nuls au hockey

Autre élément d’importance : en général, les sports ne font pas dans la nuance, une équipe gagne ou perd un match. En cas d’égalité à la fin du temps réglementaire, elles continuent à jouer jusqu’à ce que l’une l’emporte. Or, le football permet dans certaines compétitions (les championnats nationaux par exemple) de terminer une rencontre par un match nul : les 2 équipes se partagent alors 1 point chacune.

Le hockey ne va pas aussi loin, car les matchs finissent toujours par désigner un vainqueur. Cependant, l’équipe perdante qui obtient un match nul à la fin du temps réglementaire et ne s’incline que lors des prolongations se voit attribuer 1 point, contre 2 à l’équipe victorieuse.

 

Les spécificités du hockey par rapport au foot

Ces spécificités (scores serrés, possibilité d’égalité) rendent ces 2 disciplines particulièrement adaptées au marché des paris sportifs, qui n’aime rien tant que les retournements de situations et les incertitudes jusqu’au coup de sifflet final. Le hockey sur glace bénéficie même de cotes plus intéressantes encore que le football, notamment en raison d’une plus grande homogénéité entre les différentes équipes.

Les meilleurs équipes dépassent donc difficilement les 60% de victoires. Dans le foot européen, les taux des meilleures équipes approchent 80% en Espagne et Allemagne, 70% en Italie en en Angleterre. Le Paris Saint-Germain est le seul à afficher un pourcentage comparable à la NHL, en partie à cause d’un grand nombre de matchs nuls (en revanche, il n’a connu que 3 défaites en 34 matchs, soit moins de 10%, tandis que les Rangers ou les Canadiens en concèdent tout de même 27%).

Il n’est donc pas rare de voir une victoire du PSG, du Barça ou du Bayern cotée à 1,20 ou 1,30. En revanche,  un succès des Ducks d’Anaheim ou des Blues de Saint-Louis vous rapportera toujours au moins 1,60 fois votre mise.

Malgré des cotes pourtant plus alléchantes, les paris sur le hockey se font rares (environ 2% des paris donc de potentiels value bets en perspective).

L’an dernier en moyenne 6 buts par match.

Flashscore donne des stats sur le hockey aussi.

 

Comment aller plus loin sur les value bets

Si vous n’êtes pas intelligent ou pas très travailleur, ou pas passionné par les paris sportifs, pas déterminé à gagner de l’argent comme ça, ce qui suit n’est PAS pour vous.

Si, par contre, vous avez envie de comprendre les secrets des paris sportifs et savoir comment devenir enfin un parieur dans la vert, lisez ce qui suit.

Pour aller plus loin, je vous propose de découvrir mon guide LA METHODE POUR GAGNER AUX PARIS SPORTIFS SUR LE LONG-TERME.

Cela va vous expliquer notamment comment bien analyser un match et comment comprendre les cotes des bookmakers pour trouver des values bets.

Vous allez apprendre à défier les probabilités et les bookmakers !!!

 

En espérant que cette technique vous aidera et en vous encourageant à réfléchir à faire du value betting !

Je vous souhaite tout le succès du monde dans les paris sportifs,

L’équipe Paris Sportifs Grosse Confiance

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